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Bonne lecture et j'apprécie vos commentaires pour ou contre. Ne vous gênez pas. Le but est de susciter un débat qui pourrait nous aider à faire avancer les choses.

mardi 7 décembre 2010

Pourquoi toujours un groupe qui doit supporter toute une charge?

En lisant l'article du Journal le Métro et un certain passage :
Selon le gouvernement Charest, la situation financière des universités est à ce point précaire qu'il faut demander aux étudiants un effort supplémentaire, de même qu'aux entreprises, par des activités philanthropiques, et aux universités elles-mêmes, grâce à des revenus autonomes.

C'est à ce moment que je me suis dit que nous allons encore tous refiler la charge sur un seul groupe et non de façon équivalent aux bénéfices retirés par les partis.

Au Québec nous ne voulons pas d'augmentation de frais de scolarité. Par contre, on se doit de suivre l'inflation minimale et tout le monde doit participer. Alors, oui une certaine augmentation mais faut voir aussi que nous sommes taxés de partout!

D'un autre coté voulons nous dune éducation basée seulement sur l'économie?

Voilà une question que l'on déjà établie y a quelques décennies lorsque l'on a dit oui pour la gratuité à l'accès pour l'éducation. Par contre, notre système nous le permet-il encore ? Je crois que les outils utilisés présentement ne sont plus efficace face à la nouvelle économie qui nous imprègne. Alors, permettez moi d'en douter!

Présentement nous voulons refiler tout les déficits des universités aux étudiants mise à part quelques programmes philanthropiques déjà existant pour les entreprises sur base volontaire.

C'est ici que je ne suis pas d'accord, car si notre société est basée sur l' Économie et que nous poussons les étudiants vers des domaines à combler pour le manque de personnel  nous devrions imposer une plus grande part aux entreprises, car ce sont elles qui bénéficient de nos gradués et ce sont elles qui amassent la plus grande part des avantages à ces nouveaux diplômés.

Présentement, elles ne paient Même pas 30% d'impôts et nous créons la relève économique pour eux pratiquement gratuitement et en plus subventionné à plus de 3 milliard $ de la part du Québec.

Alors, pourquoi elles ne verseraient pas un montant non négligeable et pourquoi elles ne feraient pas partie de programmes plus officiels que seulement des activités de donation volontaires ?

Voilà une alternative à penser tant qu'à moi que nous devrions étudier sans aveuglement tout refiler aux étudiants!

Merci et les commentaires sont bienvenus.

mercredi 25 août 2010

Vision de Leader vraiment?

Bonjour,
J'ai lu l'article de Lapresse sur Gérard Deltell, puis ça ressemble à quelqu'un qui veut brasser la cage et essayer de nous convaincre à faire équipe avec des idées de coupe à blanc sur notre province...
  
 ...Comme les libéraux font depuis la crise de 2008.

Deltell propose d'exploiter à plein régime les ressources naturelles
N'en déplaise aux groupes de pression environnementaux, le Québec doit exploiter à plein régime ses ressources naturelles, croit le chef de l'Action démocratique, Gérard Deltell.
 Le leader adéquiste considère que les lobbies environnementaux en mènent trop large et empêchent le Québec de profiter pleinement de son potentiel gazier, minier et pétrolier.
Information sur Gérard et pour quel employeur travaillait-il avant: http://fr.wikipedia.org/wiki/Gérard_Deltell
Puis voici une autre opinion un peu différente:
http://bit.ly/Quebec-dans-le-mur

Cet à ce moment que je me suis mis à comparer son message avec les tendances actuelles pour revitaliser une économie durable et positionner notre province en tant que Leader sur plusieurs aspects.



  1.       Tout d'abord, une transaction équitable ou un échange équitable donnerait lieu à un scénario: gagnant pour les deux partis. Il a raison, nous devrions profiter de la richesse de notre territoire, mais non pas en échangeant nos ressources à faible coûts, ni sans les avoir transformées préalablement comme on le fait présentement avec plusieurs ressources qui ne dépassent pas la transformation primaire. Donc secteur primaire donne lieu à moins d'économie local, moins d'emplois de haute rémunération, donc une expertise moins poussée, etc...
  2.       En fait, il doit avoir encadrement! Si tu étais une industrie, je t'aiderais à t'implanter seulement si tu m'offrirais autant d'avantages durable pour notre société que ton entreprise. D'ailleurs, des formations, des emplois d'importances et des redevances devront êtres déployées si tu veux nos subventions pour t'aider à créer ta richesse.
  3.        Tu devras utiliser des énergies renouvelables tel que le solaire, l'élolien et pas seulement notre hydroélectricité. La construction de ton entreprise devra être optimisée sur le plan LEED et impliqué le local à un haut % de notre main d'oeuvre.
Par exemple: Prenez la Norvège avec son fond pour le pétrole dans lequel ils investissent depuis longtemps. D'ailleurs, grâce à se fond, ils peuvent éviter la crise plus facilement:

  • Pourquoi ne sommes nous pas capable de faire la même chose?
  • Pour moi ce fond est synonyme de Leadership, pourquoi?
    • Parce qu'un leader prévoit et est visionnaire.
  • En passant combien de pays ne sont-ils pas propriétaire de leurs ressources tel que le pétrole? Le Canada ne l'est plus soit dit en passant!


Aussi légitimes qu'ils soient, les groupes de pression ne doivent pas dicter le programme du gouvernement en matière de développement économique, a insisté lundi M. Deltell, au premier jour d'un caucus de 48 heures des quatre députés adéquistes à Bécancour.
http://bit.ly/On-va-dans-le-sens-inverse


  • Que fait-on nous les citoyens pour préserver l'équilibre? 
    • On fait "confiance" à l'élite politique et les lobby des entreprises?
«Il y a des gens qui s'objectent et c'est très respectable mais il ne faut pas qu'un lobby freine l'élan qui doit être fait», a-t-il souligné en entrevue à La Presse Canadienne.

  • M.Deltell c'est normal d'avoir des gens qui veulent des projets encadrés, non pas seulement pour dilapider nos ressources sans un gain collectif qui respecte la Durabilité


  • M.Deltell l'élan qui doit être fait à mon avis est seulement l'élan du profit au détriment de tout...En aucun cas vous ne protégé la population des abus que le système peut entraîner.

Pour les mois à venir à l'Assemblée nationale, le chef de l'Action démocratique a dit vouloir faire de la «création de richesse» l'un de ses principaux chevaux de bataille. 
  • La seule définition que vous évoqué est celle des anciennes théories économiques et j'ai l'impression d'être sur l'île de Pâques lorsque je vous lis et on dirait que nous allons tout gaspiller au même moment que j'écris ces lignes. Ça ne m'inspire pas confiance!
En outre, il a dit trouver «honteux» que le Québec soit le plus gros bénéficiaire du programme de péréquation au Canada.
Les milliards de dollars versés par les autres provinces au Québec sont ni plus ni moins qu'une forme «d'aide sociale», a-t-il décrié.
  • Effectivement nous ne devrions pas avoir besoin d'aide de personne avec un potentiel comme celui que le Québec possède.
  • Nous devrions arrêté de faire du Statu-Quo et de foncer, mais de le faire avec une vision durable et se démarquer des autres non?
   «Quand je vois que l'on dort sur nos ressources naturelles, je me dis qu'il faut agir. C'est honteux de savoir que c'est nous qui recevons 60% de la péréquation (au Canada). Je suis trop fier d'être Québécois pour laisser cette situation perdurer», a fait valoir le député de Chauveau.

  • Par contre, notre gestion gouvernementale est loin d'être efficace et pour cela je n'oserai pas confier d'autres mandats à l'État.
     Pour s'extirper du cycle de la dépendance économique, le Québec a tout intérêt, selon lui, à saisir l'occasion que représente l'extraction de l'uranium, du gaz de schiste et du pétrole dans le golfe du Saint-Laurent. Dans le cas du gaz de schiste, comme dans celui de l'uranium, «le développement peut et doit se faire» malgré les hauts cris de certains lobbies, a mentionné le chef de l'Action démocratique. À cet égard, le gouvernement du Québec a un rôle crucial à jouer pour «mieux» informer la population «sur les forces et les faiblesses» des différents projets, a poursuivi M. Deltell. Même si elle parle davantage de création de richesse, l'Actionl'État.
  • Y-a-t'il pas d'autres potentiel énergique moins dommagable?
  • Pourquoi sabrer dans les dépenses publiques lorsque les contribuables supportent à plus de 70% les revenus de l'état en impôts?

Après ça, vous demandez aux gens d'être plus enthousiasme face à la politique que l'on connais? Bonne chance!





mardi 20 juillet 2010

Soyons efficace! Harmonison notre PVA!

PVA (Piétons, Vélos, Autos)


Je crois que nous allons avoir de plus en plus d'accidents pour plusieurs raisons:
  • Notre système routier n'est pas fait pour les vélos et les piétons
  • Les gens manques de respect envers eux-mêmes
  • La municipalité qui est composé de ces mêmes gens ne font pas en sorte d'activer les projets pour la population.
  • Au final: nous avons de plus en plus de cycliste!
Idéalement nous devrions créer un projet qui poussent les gens à respecter le code de la route. Alors, pourquoi ne pas créer un projet qui amènerait les citoyens à respecter les règles qui augmentent notre sécurité?

D'ailleurs, nous pourrions facilement influencer sur d'autres problématiques qui s'imposent de plus en plus sur l'île en même temps. 


Donc, comment réduire les accidents, avoir moins d'îlots de chaleur et forcer les gens a respecter le code la route?

Simple! Je crois que nous devons changer notre approche au niveau de la visibilité. On devrait réduire la visibilité. 


Hé oui, car je me demande si on n'incite pas les citoyens à prendre plus de risques vu qu'ils voient plus loin?



Je m'explique, lorsque tu vois de bord en bord un boulevard, les chances de traverser en diagonales sont bien plus grande que sur le boulevard du Cégep Édouard Mont-Petit par exemple. 

Déjà ici, cette barrière empêche les gens de traverser en diagonale. Nous pourrions faire cela avec bien des boulevards à Montréal. En plus, remplaçons la barrière de métal pour une barrière de végétaux. Du même coup, on réduit aussi les effets de chaleurs.     


Présentement, je vois souvent des gens traverser les rues en diagonales et le voitures s'arrêtent 2-3 fois au lieu de s'arrêter à la ligne jaune à cet effet. 


Les solutions que j'y vois, viennent de cet hypothèse plutôt simple: Si tu ne peux amener les gens à faire le bon choix, guide les vers l'option la plus sécuritaire.


Les actions à entreprendre pour une intersection plus sécuritaire serait:


  • Installer des bac à végétaux aux intersections et aux ruelles
Des pots de fleurs en ciment ont été installés à deux des quatre entrées de la ruelle située dans le quadrilatère formé des rues Holt, Dandurand, de la 5e et de la 6e Avenue dans le but d’y apaiser la circulation, nous apprend Rue Masson, une excellente référence de l’information dans Rosemont. Un premier pas vers les ruelles vertes
http://rouleravelo.wordpress.com/
    • Diminution de la vision lointaine
      • Résultat une circulation plus lente aux intersections
    • Augmentation de l'esthétisme urbain avec une végétation plus présente 
    • Diminution des îlots de chaleurs
      • Créations de corridors verts près des pistes cyclables et piétonnières
    • Diminution des places disponibles pour le stationnement
      • Augmentation de l'utilisation du cocktails des transports
      • Augmentation de la sécurité par un effet moins des voitures en mouvements




  • Implanter des feux à court rayon de vision
    • Ces feux ne te permette pas de voir l'état de la lumière à moins de 5m
  • Installer des bassins de rétention d'eau (Gestion de la canicule mon ancien texte)
    • Diminution du ruissellement
      • Diminution de la charge d'eau à traiter dans nos aqueduc
  • Synchronisation des feux pour que le passage des piétons et cyclistes s'exécutent en même temps des 2 côtés
    • Augmentation de la fluidité de la circulation et économie de temps pour tous
Ici, à Montréal, j'ai la perception que nous avons autant de configuration de lumières que de rues.


De plus, les coûts associés à ces mesures, seront sûrement plus importants que de ne rien faire. Par contre, les coûts que l'on ne voit pas présentement tel que:

  1. Coûts d'accidents
  2. Coûts de trafics
  3. Coûts d'environnement (Canicule)
  4. Coûts d'aqueducs
doivent être encore plus important pour notre société...

...Alors, si nous pouvions appliquer ces mesures, nous aurions des effets au niveau environnemental, social et économique. N'est-ce pas les base du développement durable!

mercredi 7 juillet 2010

Gestion de la canicule...

La Canicule persiste et Montréal va passer finalement à l'action!  Content n'est-ce pas?

Nous allons avoir des haltes rafraichissantes et des horaires prolongés pour nos piscines.

Intéressant de voir des sommes supplémentaires dégagées pour aider nos citoyens. En effet, hier j'ai fait du vélo en partant de la station Lionel-Groulx jusqu'au stade en plus d'aller à Boucherville quelques temps après, ce fut assez ardu.  

Physiquement je me sentais bien, mais la température du corps et du liquide dans lequel notre cerveau baigne n'arrêtaient pas de grimper.

J'ai du me déverser 4 bouteilles d'eau dans le dos et sur la tête. De plus, la qualité de l'air diminue, car les agents polluants sont plus présents en ppm. 

Alors c'est là que je me pose la question suivante: 
Pourquoi ne pas investir aussi dès maintenant sur l'île pour contrer l'effet des îlots de chaleur?!

Je comprend que l'on doit aider les gens cette semaine, mais nous pourrions aussi mettre immédiatement en place d'autre projets diminuant la chaleur accumulée lors des prochaines séquences de chaleurs similaires.

Par exemple:
Tout les toits doivent être changés pour une peinture plus pâle, de la roche blanche ou idéalement des toits verts. 
Puis aussi passer une loi qui oblige pour x pieds carré d'avoir un toit blanc et x+y pieds carré d'avoir des toits végétaux pour les anciens et nouveaux édifices dans les secteurs les plus à risque.

Nous pourrions aussi commencer à regarnir d'arbres tout les pourtours des pistes cycables et des trottoirs dans le but de créer des aires isolées de la pollution sonore, de l'air contaminé et aussi plus de fraicheur pour les passants.

D'ailleurs en temps pluvieux, il y aura plus d'adeptes si les pistes sont protégées par ses arbres, donc moins de traffic aussi. Pareillement pour les trottoirs. 

La végétation urbaine a d'autre avantages et c'est un très bon moyen de rétention des eaux pluviales.

Alors voici un site expliquant très bien tout les bienfaits de la rétention...

Il explique vraiment tout ce qu'il faut pour éviter de remettre les eaux pluviales dans notre système d'aqueduc sans une première filtration naturelle.

Moins d'eau dans notre système c'est aussi moins cher à l'entretien, plus d'argent dans nos poche et aussi une ville plus propre et plus fraiche.
"Au lendemain des pluies torrentielles qu’a reçues la ville lundi soir, les trois ordres de gouvernement ont annoncé hier qu’ils injectaient chacun plus de 49 M$ pour financier ces nouvelles infrastructures, qui coûteront au total 185 M$. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a sollicité l’aide de Québec pour combler la différence."
Alors, plus nous aurons des rues, boulevards, toits, pistes cyclables aménagés avec une végétation d'arbres et de jardins d'eau, plus nous diminuerons les effets de nos îlots de chaleur tout en assainissant notre air et en réduisant la charge d'eau sur notre système.

N'oubliez pas qu'il y a aussi des emplois qui peuvent être crées avec des investissements du genre.
Sachez qu'il y a encore beaucoup d'autres idées que je n'ai pas nommés, car la liste pourrait être plus longue que celle d'une famille de 5 personnes ! :)

Puis si vous voulez vraiment les détails d'une littérature très bien étayée de l'institut national de santé publique du Québec; lisez Mesure de lutte aux ilots de chaleur urbains


Merci















mardi 15 juin 2010

Bonjour,
J'en suis à mes débuts en tant que Blogger, mais il y a fort longtemps que j'ai envie d'écrire sur des sujets face au développement de notre société, de notre ville et de vous partager ma vision des choses.

Dernièrement, nous avons eu droit à la plus grande preuve que nous avons deux mentalités concernant l'harmonisation des transports au niveau de la population. Je ne crois pas que les gens ne veulent pas changer leurs habitudes, mais plutôt les outils que l'on offre sont de plus en plus inefficace en fonction du rythme de notre vie.

Le monde évolue tellement rapidement aujourd'hui, il faut que les municipalités puisses faire de même.

Le premier aspect que nous devons essayer de régler, c'est d'être pro-actif au lieu d'être réactif. Alors, de faire études par-dessus études prennent trop de temps, mais il y a des solutions qui ne mobilisent pas autant de ressources.

Pendant ce temps, la cohabitation entre cyclistes et automobilistes est très ardue à voir les dernières actualités.

En regardant sur des forums, des sites web sur d'autres villes, nous pourrions avoir un système tellement plus sécuritaire. Malheureusement, lorsque l'on veut changer quelque chose dans nos villes, nous sommes souvent mis devant des projets qui prennent des années avant d'être terminés au lieu de faire les choses simples.

Dans notre souci de vouloir populariser l'utilisation des moyens plus vert, tel que le vélo, nous avons trop souvent des systèmes de pistes différentes. Je crois que c'est sur ces différences que l'on doit travailler. D'ailleurs, À Montréal nous avons tellement de type de pistes différentes que la confusion peut s'installer assez rapidement entre les piétons, cyclistes et automobilistes.

Je peux comprendre que nous ne pouvons pas insérer une bande de béton à toutes les pistes, comme celle de Maisonneuve par exemple. Par contre, nous pourrions avoir autant de sécurité que celles-ci seulement en reconfigurant les lignes de signalisation.




Il nous faudrait appliquer un ratio tel que Pareto pour s'assurer que les ressources déployées durant les mois de constructions soient des plus efficace. Faire le maximum avec le minium vous connaissez?  

Ce que je propose, c'est immédiatement identifier toutes les pistes cyclables en ville qui pourraient être repeintes en incluant le stationnement des voitures entre la pistes cyclables et la route au lieu d'avoir des voitures stationnées comme l'image suivante.

Comme vous pouvez voir, ici sur la Rue Adam, les voitures sont entre la piste et le trottoir. L'effet résulte d'un risque au niveau des portières et des voitures qui s'impose dans la piste pour circuler.

Il faut simplement repeindre les pistes cyclable sur le bord des trottoirs et de permettre de stationner les voitures près des routes. Cette solution permettrait aux cyclistes d'être retiré un peu plus de la circulation routière, des voitures stationnées en double et de portières ouverte à l'improviste.

La deuxième solution que j'appliquerai sur nos rues seraient d'éliminer la possibilité de stationner aux intersections. En appliquant l'interdiction de stationner aux abords des intersections, la visibilité de chacun serait accrue. 


Le seul désavantage pour certaines personnes seraient le nombres de place de stationnement disponibles. Par contre, est-ce vraiment un désavantage?


D'ailleurs, s'il y a moins de place disponibles peut-être la population serait tentée d'utiliser plus fréquemment le transport en commun et donc du coup moins de pollution à moyen terme. Effectivement, il y aurait moins de place disponible, mais moins d'accrochage aussi et surtout plus de gens dans le transport en commun ou alternatif.


La troisième solution, serait plus pour nos villes qui ceinturent l'ile de Montréal. Maintenant, nous devrions toujours faire les accotements en asphalte et planifier la construction de celles-ci pour les routes existantes. J'ai vu dernièrement le chemin du Tremblay à Boucherville en reconstruction qui relie le quartier industriel de Boucherville et un quartier résidentiel de Longueuil. Qu'est-ce que l'on attend pour leur fournir une piste cyclable? 








Alors, nous devrions appliquer ces solutions partout dans nos villes. 


En ayant un système identique, ainsi toutes les populations apprendraient un système unique et part le temps la fluidité s'imposerait plus facilement à mon humble avis, tout en diminuant le nombre d'accident, la pollution et une meilleure santé éventuelle pour les usagers assidu.


Merci de prendre le temps de me lire.
Au plaisir de lire vos opinions.